Protée, de la confusion à la transparence 4/5
A la suite du célèbre Victor Hugo (natif « poissons ascendant scorpion » et parfait exemple du protéen) qui affirmait : « la forme, c’est le fond qui remonte à la surface » ; Luc Bigé nous invite ici à descendre dans les profondeurs du mythe de Protée. Identifier ses abysses et pathologies (autisme et hystérie) puis, une fois le remède trouvé, remonter vers les eaux plus transparentes de la surface.
abonnez-vous pour un accès à tout le catalogue !
Une lente remontée qui tentera de démêler le fond de la forme (proté-iforme ?), l’essence de la substance et où le neptunien devra relever ce qui s’apparente à un formidable défi pour lui : ouvrir son Saturne « l’urne de Sat - Satori » (« Satori » signifie tout-à-fois éveil, compréhension et réalisation spirituelle).
Un défi périlleux au cours duquel, sainteté et folie demeureront tapis en embuscade...
Quatrième volet volet de notre série consacrée au mythe de Protée, Luc Bigé livre ici aux protéens (mais pas qu’à eux !) trois clés en vue de parvenir à réaliser ce mythe et l’incarner.
Un travail de conversion quasi-alchimique qui consistera à polariser les tendances involutives du mythe en forces évolutives : « passer de la confusion à la transparence » nous dit-il.
Un chemin au cours duquel le protéen devra comprendre que ce qui est inné pour lui, son empathie, ne l’est pas dans une même (dé)mesure pour les autres.
Il apprendra ainsi à exprimer à l'extérieur de lui ce don et faire sienne cette maxime : « communion n’est pas communication »….