L’énergétique et l’art du soin entre Orient et Occident 2/2

« Je masse, je pique, ou j’écoute ? ». L’art du soin a connu au gré des époques, des continents, et de nos connaissances du fonctionnement du corps humain (le pluriel serait sans doute plus adapté : « des différents corps de l’homme ») de nombreuses évolutions. Dans un échange précédent, Marc Sokol, Saverio Tomasella et Eve Bertelle avaient abordé la place de l’inconscient dans le processus thérapeutique, entre Orient et Occident. 

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49:02
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Dans ce second volet, ils évoquent cette fois la place de l’énergétique dans cet art du soin. Le corps envisagé comme creuset et réceptacle de multiples énergies tant extérieures qu’intérieures. Devenant à la fois pile et antenne. Et mémoire.

Marc Sokol sur BAGLIS TVEve Bertelle - BAGLIS TV

Le corps compris non plus que comme une simple mécanique, mais bien une terra incognita, pleine de mystères…

Pendant longtemps, une frontière assez nette a prévalu entre les thérapies impliquant un toucher, un maniement du corps physique et celles qui ne reposaient que sur la parole. Depuis quelques années, avec l’arrivée de thérapies alternatives telles que la sophrologie, l’hypnose (etc.) cette frontière devient plus perméable. D’ailleurs ces deux dernières affirment ne reposer nullement sur le « transfert » (fondement de la psychanalyse) ; affirmation que Saverio Tomasella mettra ici clairement en doute…

Saverio Tomasella - BAGLIS TV

« Mes patients s’expriment en mots, moi, je leurs réponds en points d’acupuncture…(Marc Sokol) »

Orient et Occident s’interpénètrent et s’influencent mutuellement, et cela va croissant. A partir du symptôme initial, qui demeure la porte d’entrée universelle du processus de guérison et de transformation, on découvre à travers cet échange un nuancier infini d’approches, de pratiques et de regards. Un véritable caléidoscope - et génie humain - dont le maitre mot serait « transdisciplinarité ».
Nos trois intervenants ne s’accordent-ils pas à évoquer la possibilité d’un « toucher psychique » ?

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