Les outils de l’abbé Julio
Il existe depuis de nombreuses années un paradoxe troublant dans le monde chrétien: alors que les évangiles relatent un certain nombre d’actes de guérison soulignant le pouvoir de la prière, de l’oraison, ou de l’invocation par les apôtres puis dans leur succession par les prêtres (Mat. 7,7 ; Luc 11,9 ; Mat. 21,22 ; Jean 14,13 ; Jean 16,23 etc…) nous constatons que depuis fort longtemps il semblerait que les prêtres catholiques (ainsi que les pasteurs protestants) aient totalement délégué ce pouvoir au profit de la seule médecine moderne.
abonnez-vous pour un accès à tout le catalogue !
Pour Denis Labouré, « cette lente perdition du pouvoir de guérison dont disposaient et usaient les premiers prêtres expliquerait la lente et inexorable désaffection de l’église catholique… qui se fait actuellement tailler des croupières par les églises anglicanes ou évangélistes».
Pourtant, l’abbé Julio, au XIXème siècle, tenta de réhabiliter ces vieilles prières chrétiennes et démontrer leur opérativité. Il développa ainsi différents outils qui s’inscrivirent tous dans un cadre indiscutablement chrétien :
1°) l’importance de l’intention
2°) les psaumes
3°) les neuvaines
4°) les huiles saintes
5°) les pentacles, amulettes et talismans…
Cornelius Agrippa dans son ouvrage "Sur la philosophie Occulte" (1533) relevait trois types d’énergies (ou magies) distinctes : la magie naturelle (un bracelet de cuivre que l’on porte au poignet), la magie céleste (les influences du monde intermédiaire issues du soleil ou de la lune), puis les énergies divines, incréées, issues de la révélation.
Souhaitez-vous vous sensibiliser aux différents outils que réhabilita l’abbé Julio au fil de ses recherches et tester leur indéfectible opérativité ? Réponse de Denis Labouré dans cet exposé de 42 minutes.