A la découverte de Pierre Vincenti Piobb
Les sciences occultes regorgent de chercheurs, praticiens ou non, dont la discrétion est à la hauteur de la qualité de leurs travaux… Certes, moins connu que les Eliphas Lévi, Helena Blavastsky, Papus ou Oswald Wirth : Pierre Vincenti Piobb (1874-1942) figure sans conteste parmi ceux-là. Guy Thieux a beaucoup lu son œuvre, étudié sa biographie et fréquenté certains de ses proches. Il nous reçoit à nouveau chez lui, dans son salon, véritable caverne d’Ali Baba...
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En compagnie de Marie-Véronique Lechêne, il se propose de nous donner ici un éclairage inédit et panoramique du contexte global des écrits de Pierre Vincenti Piobb. En quelque sorte, la genèse intellectuelle et biographique de son ouvrage, la « Clef universelle des sciences secrètes », clef de voute de sa pensée, paru à titre posthume, en 1950*.
Des alcôves du Vatican, aux Centuries de Nostradamus, en passant par la traduction de Robert Fludd.
Guy Thieux nous dépeint P.V. Piobb comme un « chercheur pragmatique », fuyant quasi systématiquement tout enfumage, toutes limbes, particulièrement présentes dans le milieu ésotérique.
Depuis son enfance, passée au Vatican (son père était ami et homme de confiance du Pape), en passant par les enseignements reçus auprès de moines corses (île dont il fut viscéralement très attaché), à sa pratique de l’Astrologie, sans oublier la lecture assidue des archives de la BN de l’Arsenal : Guy Thieux nous brosse ici le parcours personnel et intellectuel de Pierre Vincenti Piobb.
Avez-vous envie de découvrir ce chercheur hors-pair de vérités universelles, et réemprunter le chemin qui le conduisit à oser remettre en cause les indétrônables Centuries de Nostradamus ? Eléments de réponse dans cet entretien.
* A noter que la « Clef universelle des sciences secrètes » a été réédité chez Alliance Magique, en 2013.